Au lendemain de BERLIN AVEC LA PRESSE INFO

Aprés l'avant, l'apres avec la revue de presse

vu sur les journaux

la presse en parle
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/08/21/01011-20090821FILWWW00275-50km-marche-pas-de-medaille-pour-diniz.php

avec le journal le figaro

OUEST FRANCE EN PARLE

ON EN PARLE

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Athletisme.-Deception-pour-Diniz-qui-finit-12e-a-Berlin_3638-1042114_actu.Htm

Aujourd'hui ecrit diniz s'effronde

ON EN PARLE
http://www.aujourdhui-en-france.fr/sports/athletisme/athletisme-marche-diniz-s-effondre-victoire-du-russe-kirdyapkin-21-08-2009-612630.php

toujours et encore un article sur notre champion
http://sport.europe1.fr/europe1/infos/athletisme/200934/diniz-n-a-pas-pu_239874.html

la presse

comment mararathon percoit diniz

marathon

Pertince et Eclaircissement avec SPORT MSN
INTERVIEW EN PROVENANCE DU SITE
CETTE ARTICLE EST EN PROVENANCE DE http://sport.fr.msn.com/HTML/Athletisme/breves2009/20090821_154432_diniz-destabilise-par-les-cartons.html
a lire
http://sport.fr.msn.com/HTML/Athletisme/breves2009/20090821_154432_diniz-destabilise-par-les-cartons.html

21/08/2009 | à 15:44| Athlé - ChM


Diniz : «Déstabilisé par les cartons»



Les cartons ont pesés lourd dans la balance.
«Yohann Diniz, comment vous sentez-vous après votre 50 km marche ?
(Exténué) C'est très dur. C'est super dur. Que dire ? C'était bien... Jusqu'au vingt-cinquième kilomètre. Jusque-là, je maîtrisais.
Et que s'est-il passé ensuite ?
J'ai commencé à prendre
des cartons... J'ai commencé à douter... J'ai pris un coup. J'ai eu
peur de ne pas finir, d'être sorti. Et, après, il y a une chute de
concentration, d'adrénaline. J'ai essayé de maîtriser par la suite mais
il n'y avait plus rien.

Comment avez-vous géré la suite de la marche dès lors ?
Cela
s'annonçait mal parti. Mais j'ai eu les c... de finir (sic).
Aujourd'hui je n'ai pas fait semblant. Je suis allé au bout de
moi-même. Je suis content pour Pascal Chirat, pour moi, pour tous ceux
qui me soutiennent. Pascal m'a beaucoup appris. Il m'a aussi beaucoup
aidé pendant ce 50 kilomètres. Je suis allé dans une grosse galère pour
finir. Maintenant, ce que je veux, c'est une bière bien fraîche (sourire).

Vous êtes déçu naturellement.
Oui.
Mais il ne faut pas pleurer non plus. Ce n'est pas la fin du monde. Et
je finis quand même en moins de trois heures cinquante. C'est la vie,
c'est tout. J'ai bossé toute l'année. Mais ça ne paye pas toujours.
Aujourd'hui ça n'a pas payé.
Avant la marche, comment étiez vous ?
Bien. Il n'y avait
aucun signe. Ce sont les cartons qui m'ont déstabilisé. Ils sont tombés
entre le vingtième et le trentième kilomètre.

Mais qu'est-ce qui vous a permis de tenir ?
C'est
la tronche qui m'a aidé à finir (sic). Entre les kilomètres trente et
quarante, j'ai fait dix bornes qui ont été très difficiles. C'est ça
qui m'a permis de me relancer. A ce moment-là, je ne le faisais
évidemment plus pour le podium. Mais qu'est-ce que ça a été dur.

Le parcours a-t-il été difficile ?
Il y avait des faux plats, c'est vrai. Mais ce n'est pas ça qui m'a gêné.
Votre préparation peut-elle être remise en cause ?
Pas du tout. J'étais prêt.

La marche, dans l'ensemble, n'a pas souri aux favoris.
Oui, j'ai l'impression que tout le monde a fait un peu l'accordéon. Il n'y a pas eu que moi. Le champion olympique (l'Italien Schwazer, ndlr)
n'a pas terminé. Pendant vinq-cinq kilomètres, ça a été n'importe quoi.
Les stratégies n'ont pas été bonnes au début. Il ne fallait pas être
devant tout de suite, c'est la morale de l'histoire. En fait, tout le
monde a voulu un peu faire le ménage. Mais ce n'était pas mon cas. Moi,
j'ai essayé de suivre, de revenir au train.

Que retenez-vous de votre journée par rapport à l'épreuve des Jeux de Pékin (Yohann Diniz avait abandonné) ?
L'année
dernière j'étais venu en spectateur. Ce n'était pas Yohann Diniz qui
marchait. Là, je n'ai pas été spectateur. J'ai été un acteur.
Que vous inspire la victoire du Russe Kirdyapkin ?
Je suis content pour lui. C'est un mec sympa.

Il n'avait plus rien fait depuis trois, quatre ans.
Cela
montre que ça n'est jamais fini. C'est sûr que cette journée fera
partie des mauvais souvenirs. Mais j'espère que ça servira pour les
prochaines épreuves. J'aimerais faire une autre médaille avant ma
retraite.» - O.P. à Berlin

Pertince et Eclaircissement avec SPORT MSN
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CETTE ARTICLE EST EN PROVENANCE DE http://sport.fr.msn.com/HTML/Athletisme/breves2009/20090821_154432_diniz-destabilise-par-les-cartons.html
a lire

J'aimerais bien avoir les impressions de Cédric et Hervé aussi

Moi aussi !

Cédric Houssaye, 27e du 50km marche en 4h 02’44’’ :


« C’est un bilan mitigé. C’était mon premier grand championnat. Ma priorité, c’était d’aller au bout. Je ne voyais pas d’autres éventualités. Ma déception, c’est que je ne pense pas avoir été à mon niveau. J’ai été bien pendant trente-cinq, quarante bornes. Mais, en un tour, c’est devenu très dur. Je me suis déconcentré quand je me suis retrouvé avec Yohann (Diniz). Je suis sorti de ma course pour entrer dans la sienne, j’ai commencé à l’encourager. C’est une erreur. Cette course m’a appris que le niveau mondial avait encore augmenté. Il va falloir bosser et encore bosser. »

autres propos de DINIZ

« J'espère qu'on pourra fêter une médaille avant ma retraite. Ce
n'est pas fini. »


Yohannn nous donne rendez vous pour les JO DE LONDRES.

Avant , il y a Barcelone l'année prochaine et Daegu en 2011

le president de la FFA
AVEC LA RADIO
est conscient DU BILAN;

http://www.lalsace.fr/fr/sports/article/1911197,219/Ghani-Yalouz-(DTN)-L-etat-d-esprit-etait-la.html

avec l'alsace
avec le DIRECTEUR TECHNIQUE NATIONAL monsieur GHANI YALOUZ