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Voilà, c’est gagné,
Trop c’est trop
Il m’a gonflé…ce marcheur masqué
De ces mots à maux.
Ainsi je ne puis que monter au créneau
Et bouter au fléau
Trop de mauvais mots.
Trop d’insanités
D’insultes ignominieuses
Et fangeuses.
Aurais-tu le courage de te démasquer
Toi qui ne semble respirer que l’agressivité.
Tu ternis ici l’âme bien-née
Du El Zorro de nos jeunes années
Marcheur ? tiens beurre !
Masqué par manque de franchise
Aux alentours ils se le disent.
Peu importe qui tu es
Tu n’es pas reluisant
Indigne des hommes marchant.
Si tu veux halte au feu !
Ou retire-toi de ce lieu.
Montre-toi valeureux
Téléphone à Mr Grange
Il est dans les pages blanches
En place ici de l’injurier
Va donc le rencontrer
Tiers présents bienséants
Dans un no man’s land
Au coin d’un zinc, sur une lande.
En attendant
Gare au séant.
Bas les masques marcheur amer !
Peu estimable et si pervers
Tu sembles bien sournois,
Je n’aime pas ça
Tes propos discourtois
Ne peuvent être ici bas.
Viles attaques personnelles et venimeuses
Dénotent un esprit retors môssieu zzz.
Tes persifflages et brocards
Du français utilisé par les autres
Te dénonce bien mauvais apôtre.
Méprises-tu donc tant ces gens
Dont l’oral est l’écriture ?
Quant aux railleries des casaques portées
Les gueux de la rue pourraient t’en remontrer.
Retirez votre loup
Mon loup
A trop hérisser le courroux
Risque est de te casser le cou.
Tu as oublié
masqueux censeur
PC en ligne en 2004 est décédé
Le Colmar interlignes ouf ! l’a remplacé
Pas pour autant qu’il soit aisé.
Le Colmar par étapes est bien né pour le seconder
Et permettre de dérouler les pieds
Vers une direction inspirée.
Tu oses écrire abandon
Si tu avais l’esprit marche tu saurais que de lui-même « un marcheur n’abandonne jamais, il est contraint à l’abandon. » (dixit un pote: JC GOUVENAUX)
Si c’est toi que je devine, une de tes paroles malheureuses émise au soir d’une A.G. m’a fait quitté ta destinée : au sujet d’une épreuve à glaner et démarcher pour un challengedrier :"là, il y a du fric à faire." J’en ai été tant interloqué que mon ange-gardien marcheur m’a hélé : "faire du fric sur la Marche, ce mec n’a rien compris il s’est trompé de sport, sort ! "et je suis parti. Si ce n’est toi, alors oublie.
JPG est comme il est, chacun est ainsi. L’impulsion est une caractéristique de champion. Sauf que par le net, une fois cliqué, le texte non revisité est envoyé aux yeux des cybernautes. Après, expliquer sa glissade ou son emportement n’est pas une sinécure et bien souvent le mal fait involontairement perdure tel une moisissure, seul le temps et l'esprit cautérisent une méprise.
En 97 le marcheur-mousquetaire Bernard GICQUEL avait su notre désarroi d’avoir été remercié un mois avant Paris-Colmar par une marcheuse voulant de vrais marcheurs. JPG était en quête d’accompagnateurs. Présentés, JPG nous a insufflé le feu sacré de la Marche. En quelques mois, il est devenu notre champion. Chaque accompagnateur a le sien. JPG est de ces gens qui nous ont fait devenir colmariens. Notre amitié sportive puis quotidienne perdure comme la vie, avec ses hauts avec ses bas, ses espoirs ses écarts. Mais elle est de grand fond par le cœur, et pour ça elle restera. Certains en sont offusqués, dérangés, pas nous.
Tac! je pare la pointe dont vous espériez me faire don: - J'ouvre la ligne, - je la bouche... Tiens bien ta broche, Laridon! A la fin de l'envoi, je touche. ...
Merci Anne-Marie '
'
De tes lignes apaisantes.
Maintenant, parlons bien
Et écrivons comme il nous vient.
Bon, ben vouala, jeu m’san mieu, ch’pass’ à aut’chose '
'
Chalut et fraternité ô allumés de la Marche !